[Animé] Koi Kaze

Hello~

Et oui, pas d’animé à la mode cette fois ci, mais retour sur un de mes favoris.

Je n’ai pas assez fais d’article sur ces animes qui m’ont marqué, il était donc temps de rectifier ceci ! Aujourd’hui, je vais vous faire découvrir, ou redécouvrir Koi Kaze, un animé frais, léger, avec un poil de sister & brother complex !

Il se peu que je spoil un peu, mais je vais quand même essayer de me retenir de tout vous dire sur cet animé et ces personnages attachants.

Résumé :

Koshiro Saeki est un jeune homme de 27 ans travaillant au sein d’une agence matrimoniale. Sa petite amie vient de le quitter et son père lui annonce que sa petite sœur, Nanoka Kohinata, va bientôt venir partager leur toit afin de se rapprocher de son école.  Koshiro n’a jamais vraiment connu sa petite sœur, âgée de 15 ans, car ses parents ont divorcé peu après sa naissance.

Vivant chacun de leur côté, l’un avec le père l’autre avec la mère et ne partageant même pas le même nom de famille, ils ne savent rien l’un de l’autre.  Avant même qu’elle ne s’installe et que son père ne la lui présente, Koshiro fait pourtant sa rencontre par un pur hasard dans le métro.

Il l’invitera au parc d’attractions et c’est là que le jeune homme commencera à ressentir des choses pour cette jeune lycéenne…

Bon. J’avais dis « un poil » mais l’histoire tourne essentiellement autour d’une relation incestueuse. Les deux protagonistes sont amoureux l’un de l’autre, avant de savoir qu’ils sont frères et sœurs, ce qui va fortement compliquer les choses. De plus, douze ans les sépare.

Je vous parle de cette série sans l’avoir revue depuis bientôt 6 ans, et pourtant c’est un des animés à amour impossible qui m’a le plus touché. Pas de ecchi, pas de batifolage à l’écran, le spectateur n’est jamais choqué tout au long des 13 épisodes.

Au Japon, l’épisode 8 n’a pas été diffusé à la télévision, mais uniquement sur le Site officiel. Ce dernier a été renommé « 7.5 ».

Un animé passé inaperçue pour beaucoup, le staff étant quasi inconnu et pourtant Koi Kaze est une œuvre magnifique, que je qualifierais d’aussi bon que Larme Ultime. Une œuvre sur laquelle on peu tous se poser les mêmes questions « Qui sommes nous pour juger ? », « Qui sommes nous pour empêcher l’amour ? ».

Les personnages secondaire sont quasi inexistant tant la relation entre Nanoka et Koshiro nous emmène loin. Tout deux essaieront de se raisonner, chacun à leurs manière, le frère en essayant de paraitre rustre et goujat et la petite sœur en jouant son rôle… de petite sœur tout simplement. En vain.

Concernant l’OST, énorme coup de cœur. Je l’écoute encore parfois aujourd’hui, c’est pour vous dire. Un Opening tout doux chanté par EF et un ending tout aussi sympathique par Masami Itou. Le main thème restera gravé un long moment pour ceux qui sauront apprécier cet animé autant que j’ai fais. (Et ce morceau au piano… J’en ai encore des frissons !) Une OST magnifique à découvrir absolument.

Avant d’être un animé, Koi Kaze est avant tout un manga en 5 volumes édité aux éditions Kodansha, dont la fin s’est terminé après la fin de l’animé, cette dernière est donc légèrement différente. L’animé quand à lui est sortis en France aux éditions Dybex (20 euros l’intégral).

Messieurs Dames les éditeurs, j’attends toujours une édition française de ce manga. A bon entendeur !

En conclusion, Koi Kaze est un animé sur ton de couleurs pales,
sur un air de piano, et sur une base d’amour interdit.
Que l’on adhère ou pas, Koi Kaze est, et restera, un de mes animés favoris.