Sukitte na Ii yo fait partie des derniers animés 2012 que je tenais à vous présenter, un peu de douceur après les BTOOOM!, Muv Luv et autre SAO. Un article qui, je pense, sera un peu plus réservé aux filles. Je doute que le public masculin supporte très longtemps cet animé.
Résumé :
Mei Tachibana est une fille réservée et renfermée depuis sa plus tendre enfance.
En effet, très jeune, elle a été trahie par ses camarades de classe et a perdu de ce fait toute confiance en ce que l’on appelle l’amitié.
À son exact opposé, Yamato Kurosawa est un adolescent extraverti et populaire qui vit dans l’insouciance. Alors, le jour où Mei frappe par mégarde Yamato, celui-ci commence à s’intéresser à elle, et c’est le début d’une relation qui s’avère être une nouvelle expérience pour Mei…
Nous sommes ici dans un shojo tout ce qu’il y a de plus classique, une fille très réservée, le garçon craque sur la fille, lui offre son premier baiser par surprise et la fille tombe amoureuse, s’en suit tout type de clichés du style « jetetouchelamainetçamefaisrougir », mais la relation avance quand même tant bien que mal entre nos deux héros.
Tout les personnages secondaires auront droit à leurs épisodes afin de mieux les comprendre, ces derniers aideront ou mettrons des bâtons dans les roues dans l’histoire d’amour de Mei et Yamato, encore une fois, ce sont là tout les clichés Shojo qui y passeront (La fille amoureuse, la/le canon rival(e), etc etc etc).
J’ai commencée cet animé grâce à l’opening, forcement, du Ritsuko Okazaki, je ne pouvais que céder. La bande son correspond très bien à l’animé, c’est mignon et tout doux.
Sukitte Ii Na Yo est avant tout un manga, 9 volumes sont toujours en cours de prépublication.
Pour conclure, je dirais que cet animé est à voir seulement si on aime les Shojo, je doute que vous apprécierez dans le cas contraire. Dans le même genre, vous avez Tonari no Kaibutsu-Kun, l’humour en moins.
Pour ma part j’ignore comment j’ai réussis à tenir 10 épisodes, ce n’est pourtant plus mon genre d’animé, mais il a un petit quelques chose qui fait la différence !
Chuu !
11 commentaires
Je ne sais pas trop si je pourrais supporter un anime de ce genre de plus sachant que je lis déjà Sawako, le summun du backped en ce qui concerne l’évolution sentimale des personnages
Je suis cet anime grâce à toi :) ça n’avance pas beaucoup mais j’aime la douceur qui s’en dégage
@Ney : Haha tellement ça oui ^^
Pour ma part, je ne déteste pas les shôjo. J’ai d’ailleurs adoré Kimi ni Todoke (qu’on cite souvent en parlant de Sukitte), mais alors là, tout me répugne dans Sukitte, de l’animation jusqu’à la tronche des personnages et du déroulement du scénario… J’irai jusqu’au bout malgré tout.
Perso je regarde, mais sans regarder, il est généralement en fond lorsque j’écris un article, je ne tiendrais pas 20 minutes sur ma chaise à le regarder sans ça…
Qui aurais cru qu’un jour, je préférerais du mecha à une jolie histoire toute rose…
Comme -Angy- je ne suis pas du tout allergique aux shojo mais je trouve Sukinayo très mauvais. Le perso le plus charismatique de l’anime, c’est quand même le chat hein…
Après quand tu aimes vraiment le shojo classique, Sukinayo remplis bien son rôle…
Malgré ce qu’en dise mais voisin du dessus, j’apprécie plutôt bien Sukinayo, c’est doux, léger et agréable après une journée éreintante. L’histoire est certes très classique, cependant il y a (à mon goût) un petit truc qui fait que l’on se laisse prendre au final. Il n’est bien-sûr pas l’anime de la saison, mais de la à dire qu’il est répugnant, je trouve cela exagéré, surtout que le traitement graphique et réussi, et change un peut du « tout-rond-tout-lisse » que l’on voit à peut près partout de nos jours.
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