Ohayo Poi !
Nous revoici pour un article consacré aux spoilers de la fin des animés de l’hiver 2015 ! Globalement, ce fut une bonne saison, j’ai eu de quoi faire tout au long des semaines de l’hiver dernier.
De quoi avons nous parlé sur le blog ʕ ି ڡ ି ʔ Gao Gao
Parmi les fins de saison, quatre animés au format 23/24 épisodes étaient présents sur le blog aussi.
- Shigatsu wa Kimi no Uso
- Shirobako
- Nanatsu no Taizai
- Parasite
- Aldnoah.Zero Second Season (à venir)
Comme vous pouvez le constater, j’ai fortement réduis le rythme des articles animés afin de rendre de meilleurs avis sans pression inutile, il faut dire aussi que pour certains aussi bons soient-ils ne me motivent pas à l’écrit !
Pour me souvenir de cette saison lorsque je repasserais sur cet article plus tard, voici quelques mentions spéciales de ce que je retiendrais, amusez vous à faire pareil si cela vous tente.
- Meilleure Ost : Shigatsu wa Kimi no Uso
- Meilleur Opening : Aldnoah.Zero 2
- Meilleur Ending : Saekano / Yurikuma Arashi
- L’opening qui reste en tête : YuriKuma Arashi
- L’Opening qui te fait bouger : Death Parade
- L’épisode le plus triste : Shigatsu wa Kimi no Uso 22
- L’animé le plus hype : Kantai Collection
- L’animé qui donne faim : Kōfuku Graffiti
- Personnage féminin favori : Megumi Kato (SaeKano)
- Personnage masculin favori : Tomoya Aki (Saekano) (Teitoku ?)
- Le fou rire de la saison : Les scènes olé olé de Shinmai Maō no Keiyakusha
- En un mot ? POI (133 au cours de la saison)
Une courte liste, je pourrais en rajouter quelques-uns mais n’abusons pas !
Il est maintenant temps de passer aux cribles les derniers épisodes, que de bonnes notes dans l’ensemble cette saison, n’hésitez pas à papoter en commentaire pour donner votre avis même s’il diffère du notre ^_^ Et enfin, sachez que les avis sont rédigés à chaud lors de la diffusion du dernier épisode afin de capter le meilleur ressentit du grand final !
– Shigatsu wa Kimi no Uso –
Diffusé sur Wakanim.
J’ai découvert la licence Shigatsu wa Kimi no Uso lors de sa diffusion sur Wakanim il y a maintenant quelques mois de cela, je n’avais jamais prêté attention à ce manga auparavant, la version animé est donc très bien tombé ! C’était rempli de fraîcheur en pleine grisaille d’automne, les personnages étaient agréable et très attachants dès les premiers épisodes.
Comme toutes les belles histoires se cachent parfois des passés sombres et nos mignons héros sont en fait des ado à qui tout n’a pas sourit malgré le cadre fleurie. Arima Kousei et Kaori Miyazono resteront longtemps dans ma mémoire je pense.
Je ne reparlerais pas de l’animé complet, ce qui nous intéresse aujourd’hui c’est ce fameux épisode 22. J’avais volontairement mis l’épisode 21 de côté pour avoir 40 minutes complète sur ce grand final. Mouchoirs dans la main, je m’attendais à du larmoyant mais pas à ce point… Pour tout vous avouer, j’espérais vraiment une fin heureuse ne m’étant absolument pas spoilé le manga sur toute la diffusion de l’animé, j’y allait innocemment.
Nous voici donc au Jour J du concert d’Arima et de l’opération de Kaori, sur un fond de musique classique absolument saisissant, frissonnant, la scène nous montre Arima dans ses pensées, concentré sur sa partition, imaginant Kaori pleine de vie à ces côtés. Tout est clair, bleu, magnifique, divin, la musique résonnant en moi, je commence à comprendre que non, Kaori n’ira pas mieux, tout comme le comprend Arima d’ailleurs, tout s’enchaine, tout s’assombrit, Kaori disparait. Arima termine son morceau, en larme. Sayonara. Scène suivante, au cimetière, les parents de Miyazono remettent à Arima une lettre de la jeune fille.
Cher Arima Kosei…
Kaori lui parle à cœur ouvert, lui expliquant son admiration, son amour pour lui depuis l’enfance, lui expliquant qu’elle le regardait de loin depuis tout ce temps, n’ayant jamais osé l’approcher à cause de sa maladie. Qu’elle avait menti au sujet de sa relation avec son ami, qu’elle n’était nullement amoureuse de lui. Your lie in April. Ce mensonge les aura rapprochés, laissant de merveilleux souvenirs, elle l’aimait tout simplement.
Inutile de préciser que j’ai pleurée comme une madeleine en lisant la lettre avec Arima.
Des émotions à la pelle, une OST sublime, une belle histoire. 10/10
– Tokyo Ghoul √A –
Diffusé sur Wakanim.
Pour être tout à fait franche avec vous, Tokyo Ghoul n’est absolument pas le genre de manga/anime sur lequel j’ai envie de découvrir la trame, rien qu’au résumé je sais que ce n’est pas du tout mon genre d’animé. Mais bon, avec une certaine pression mentale d’une certaine personne je me suis mise à regarder sans grande conviction puis petit à petit j’ai commencé à trouver agréable (bien que le mot ne convienne pas spécialement à l’ambiance de la série) de découvrir le destin tragique de Kaneki Ken.
Cette seconde partie s’achève en 12 épisodes et bien qu’elle semble faire hurler les puristes pro-manga, en tant que novice sur la licence, j’ai trouvé cette suite plutôt pas mal, chaque épisode étant arrivé à me faire revenir une semaine plus tard ce qui est déjà une bonne chose ! Après ce milieu de saison extrêmement censuré ayant changé Kaneki à jamais, je me demandais comment allait bien pouvoir se terminer toute cette histoire, et bien, j’admets n’avoir pas spécialement compris ce final (et c’est sur ce point que je me doute que le manga doit être plus simple pour la compréhension même s’il semble se terminer de la même manière d’après les dires).
Bon, que dire de cet épisode ?Un passage émouvant à l’Antique où Hide et Kaneki se remémore les bons moments avec toute la team, les jours heureux d’autrefois désormais révolus. Hide termine par avouer à Kaneki qu’il était au courant de sa condition de Ghoul, le tout en sirotant un petit café en se vidant de son sang et avec le sourire s’il vous plait ! Pendant ce temps, j’ai vue Touka courir encore et encore sans finalement arriver à quoique ce soit et se vautrer dans la neige.
La seconde partie de l’épisode montre un Kaneki très déprimé portant son ami décédé dans les bras et marchant longuement traversant les colombes. Durant cette scène, des plans sur ses cheveux sont montrés, à la fois blanc et noir, je pense qu’il s’agit de l’acceptation du personnage. Bon, bien ok, et ensuite ? Et ensuite rien ! J’en ai lâché ma fourchette (oui car je mangeais en même temps mais cet épisode était tellement long et ennuyeux que je peux bien vous faire part de ma vie en même temps histoire de broder un peu) en voyant le générique de fin apparaitre. Mais bon sang, qui est mort ? Qui ne l’est pas ? Le court épilogue nous montre Touka qui tient son propre café. La pancarte qu’elle sort laisse supposer l’adaptation de Tokyo Ghoul :RE se déroulant deux ans plus tard, wait & see. A noter que l’OAV Tokyo Ghoul: Jack est déjà prévu pour le mois de Juillet.
Une découverte sympathique qui se termine bien trop vite à mon sens ce qui ruine légèrement le final qui n’est pas à la hauteur de mes espérances. 6/10
– Saenai Heroine no Sodatekata –
Diffusé sur Crunchyroll.fr
L’animé s’est terminé avec les épisodes 11 et 12 sorties simultanément. Cette série m’a tellement plu que dès le générique de fin je me suis mise à rédiger mon article que vous avez pu découvrir sur le blog récemment. Ces deux derniers épisodes étaient encore riches en émotions. Découvrant le talent de sa cousine Michiru, Tomoya lui demande si elle veut bien composer quelques morceaux pour lui. Elle refuse, ne voulant pas être mêlé à ces « Otaku », s’en suis une scene divine ou Utaha répand la bonne parole tel une déesse afin de démontrer que, non, les Otaku ne sont pas inférieurs ! Malgré ce refus, Michiru veux toujours que Tomoya devienne son manager afin qu’il réalise son rêve de se produire sur scène. En parallèle, Eriri travaille dur sur ses dessins, même Megumi qui veux se rendre utile malgré elle potasse le code afin de terminer le jeu dans les temps. Après une nuit blanche, Megumi rejoint Tomoya, elle lui avouera qu’elle aime beaucoup travailler sur ce projet, s’en suis une scène très amusante ou via le jeu elle lui fera comprendre qu’il n’est pas culotté d’héberger sa cousine alors qu’il pensait qu’elle était amoureuse de son cousin quelques épisodes auparavant.
Épisode 12, première scene pour les Icy Tails ! Alors que Michiru demande à Tomoya pourquoi elles doivent porter un tel accoutrement de Nyan-Maid, il lui fait comprendre que elle qui n’aime pas les Otaku se retrouve dans un groupe qui est justement 100% Otaku qui ne reprend que des musiques d’animes ! Honte à Tomoya qui n’avait rien vu et bien joué Megumi qui à découvert le poteau rose, elle est douée cette petite ! Bien que cette nouvelle ne l’emballe pas spécialement, le live n’attend qu’elle ! Sur la célèbre scène du Mogra, les voici à chanter l’opening de Tengen Toppa Guren Ragan ainsi qu’une composition originale. Un vrai petit succès.
L’épisode s’achève, nous montrant quelques scènes de leur jeu, la route une est terminée ! Il est maintenant temps de se remettre au travail pour les autres routes ! Il ne reste plus que deux mois avant le Comiket d’hiver, la réalisation de ce rêve est dans sa dernière ligne droite ! Et alors qu’Aki kun semblait vouloir annoncer une seconde saison, Eriri l’en empêche ! Nooooon !
J’ai vraiment apprécié l’univers de Saekano et Megumi aura réussie à faire battre mon cœur, bien joué ! 9/10
– ShiroBako –
Diffusé sur ADN
Débuté lors de la saison d’automne 2014, j’ai tout de suite adorée Shirobako qui sans chichi nous emmenait au cœur d’une boite de production d’un animé. Terminé en 24 épisodes, j’ai lâchée prise vers l’épisode 12 n’ayant plus trop le temps de l’inclure au planning des animés à suivre… Le weekend dernier, j’ai eu envie d’un petit speed rush anime nocturne, allez hop, c’est parti pour une nuit blanche devant Shirobako ! Et bien je ne suis pas mécontente de l’avoir fait, la seconde partie de l’animé était excellente ! La création du second animé m’a beaucoup plu tout comme le réajustement de la team qui redonne un coup de fouet à la série.
Les épisodes 23 et 24 concluent le rush du bouclage de The Third Aerial Girls Squad ! Ultime dilemme, l’auteur n’approuve pas le choix du studio sur la dernière scène, il faut alors tout recommencer, quand Dieu dit non, c’est NON ! Mais ce timing étant bien trop juste, Musashino n’a pas dit sont dernier mot et tel un cowboy, le directeur Seiichi Kinoshita s’en va rencontrer l’auteur. Il finiront par trouver un terrain d’entente, ainsi naitra un nouveau personnage. Et qui dit nouveau personnage dit besoin d’une nouvelle seiyuu ! C’est enfin au tour de Shizuka de briller, scène très touchante où même Miyamori n’a pu retenir ses larmes.
L’épisode 24 s’annonce plus serein avec les détails de dernières minutes et la remise de l’animé aux studios de télévisions. Après une course contre la montre, chacun se détend autour d’un verre et d’un fabuleux discours de la petite Miyamori qui est devenue grande au fil des épisodes. Nos cinq amies toujours réunies ont finalement réussies leur rêve de travailler au sein du monde de l’animation qui n’est pas rose tous les jours.
Un très bon animé sur les coulisses, sur l’envers du décor de nos animés ! On ressent parfaitement le vécus de bons nombres de scènes ce qui est assez plaisant, un animé que je conseille fortement. 9/10
-Death Parade –
Diffusé sur ADN
Death Parade est la dernière production des studios MadHouse, Elle reprend l’univers du court métrage Death Billiards que nous avions pu découvrir en 2013. J’ai été plutôt curieuse à la lecture du synopsis et du premier Pv. Une ambiance sombre, des duos de personnes arrivant dans un bar très chic avec pour barman, Decim, grand gaillard sans expression qui leur propose à tous un défi ou la vie est mise en jeu
Terminé en 12 épisode, c’est avec mon paquet de mouchoir (encore) que j’appréhendais le départ du Quidecim de Chiyuki. Decim semblait déjà affecté et afin d’être sure, il l’emmena faire un dernier voyage. Chiyuki se réveille chez elle, voyant sa mère la pleurer encore, se remet-on vraiment du suicide de son enfant un jour ? Decim lui propose alors un ultimatum, si elle clique sur le bouton de commande, alors un être humain perdra la vie et elle pourra revenir à la vie comme ci rien de tout cela ne s’était produit. Apres reflexion, elle ne le fera pas, refusant de faire subir la tristesse à autrui. C’est avec une Chiyuki en larme qui hurle pardon à sa mère qui terminé par implorer Decim d’appuyer à sa place.
Il se produit alors quelque chose que nous n’attendions pas, Decim pleure, souffre, a le cœur serré. Il s’excuse face à Chiyuki, c’était son jugement, mais touché par sa peine et sa réaction, Chiyuki lui pardonne, le prend dans ses bras. Chiyuki, heureuse d’avoir vécue part en réincarnation laissant derrière elle une simple poupée proche d’un Decim qui désormais arrive à sourire, heureux d’avoir fait la connaissance de cette humaine. L’animé ne nous dis pas vraiment quel sont les conséquences pour Decim d’avoir enfreint le règlement et je me pose également la question de savoir qui est vraiment le Papi Occulus mais cela ne gâche en rien le final.
Une fin larmoyante qui conclut très bien l’animé, ce fut parfait. Des ténèbres à la lumière, un purgatoire où l’on peux siroter un dernier petit cocktail, pourquoi pas ! 8/10
– Nanatsu no Taizai –
Sate sate sate ! Nanatsu no Taizai se termine déjà ! Ces quelques mois en leur compagnie m’ont completement fait craquer, je suis sous le charme de cette team completement dingue ! Si l’on m’avait dit au premier épisode que j’allais accrocher sur ce genre de Shonen, j’aurais bien rigolé ! Ces légendaires deadly sins m’ont emmené dans leurs quêtes, leurs combat, leurs fous rires arrivant presque parfois à décrocher une petite larmichette.
L’épisode 24 nous emmène sur le combat final contre Hendrinksen sous sa forme de démon, après une bonne coalition de groupe ils arrivent enfin à se débarrasser de lui ramenant la paix sur le royaume. Même Hawk que l’on pensait mort revient à la vie sous forme de mini cochon (Pourquoi/Comment ? On s’en fou !). La cité renaît de ses cendres petit à petit. Après quelques scènes mignonnettes (Mini Diane <3), le roi annonce à ses filles que les Deadly Sins partent de la capitale pour d’autres aventures mettant Elizabeth dans l’embarras de ne pas leur avoir dit adieu. Mais je ne doutais pas un seul instant que Meliodas allait partir sans emmener sa belle sous son bras ! Il ne partent pas tous dans la même direction mais se rejoindront tôt ou tard pour un nouvel affrontement.
Je n’aurais pas dit non pour une vingtaine d’épisodes supplémentaires, c’était tout simplement trop cool, a bientôt je l’espère, Meliodas-Sama. 10/10
– YuriKuma Arashi –
Diffusé sur Crunchyroll.fr
Terminé en 12 épisode, Yurikuma Arashi s’achève sur un final magnifique. Je ne peux que vous conseiller de vous rendre sur l’article lui étant consacré pour discuter de vos théories concernant l’animé. Place à l’épisode final !
Dans les bras de Ginko, ma jolie Lulu s’éteint… Commence alors la cérémonie d’exclusion répétant inlassablement le même discours sur l »invisibilité de sa propre personne afin de s’intégrer au groupe. Ginko étant la principale cible, Kureha est la suivante. Ginko déclare haut et fort que Kureha n’est pas son amie et que son seul désir est de la dévorer, dévoilant son identité face à Kureha qui lui dit qu’elles sont amies sinon pourquoi aurait elle franchit le mur, Ginko redevient un ours et Kureha retrouve la mémoire sur cette partie du passé oublié.
Place au défi du mur de l’extinction. Flash back où nous retrouvons une Kureha enfant face aux juges qui pour protéger Ginko effacera son amour pour elle et l’oubliera en échange que Ginko devienne humaine. Retour au présent, Kureha déclare vouloir donner son amour à Ginko et invoque la sainte Ursinia-sama, déesse de l’amour, qui descend des cieux dans une scène magnifique telle une Ultimate Madoka se dévoilant sous la forme de Sumika, son premier amour. Kureha souhaite plus que tout devenir un ours, le lys est approuvé et cette dernière se change en une magnifique oursonne. J’ignore si j’étais émotive ce jour la, mais la scène du baiser m’a émue, tout était si beau, si doux, si mignon et ce baiser, ENFIN, enfin ce baiser tant désiré.
S’en suis une véritable tempête, les couleurs dominantes changent, tout s’accélère, les filles invisibles sont en jouent sur nos deux oursonnes et lorsque le feu fit demandé, sainte Ursinia protégea les deux amantes, les emmenant dans un endroit inconnu ou personne ne les revit.
Alors que l’histoire semble s’achever, nous retrouvons l’ours transformé avec une étudiante ou toute deux s’enlacent en secret.
Bien sure, je ne fais que résumer, il va me falloir quelques visualisations supplémentaires pour voir les petits détails qui auraient pu m’échapper même si le message est très clair finalement, l’amour est la seule chose qui compte, ne renoncez pas à votre amour. Un court moment nous montre Lulu réunit avec son petit frère, ce petit lui donnant le baiser promis.
Mon number one de la saison, une magnifique histoire remplie de métaphores et d’amours ursidés. 10/10
– Kōfuku Graffiti –
Connaissant le manga avant la diffusion de l’animé, ce sont les yeux fermés que je me suis lancé dans les aventures culinaires de Ryou Machiko. Une pincée de jolies filles, un zeste de sauce Shaft et voici 12 épisodes qui sentent bon le ragout mijoté avec amour.
Dans cet épisode 12, Kirin et Ryou découvrent leurs résultats d’admission sous les cerisiers en fleurs. C’est une Ryou très mélancolique de ses dernières années au lycée que nous retrouvons, se remémorant les bons moments. En regardant les familles venues assister à l’événement, la tristesse commença à l’envahir lorsqu’elle se souvint de sa grand-mère l’accompagnant le premier jour, heureusement que la gentille Kirin était présente !
De retour à la maison, sa tantine lui offre un tablier cousu main de sa grand-mère qui ne devait lui être offert qu’une fois diplômée, une nouvelle bonne raison de se mettre aux fourneaux afin de préparer un délicieux repas à déguster avec Kirin qui revient les bras chargés de bagages afin de s’installer chez Ryou, chose qu’elle ne sait pas encore, tous le monde avaient omis de lui dire, teehee~ Ryou est finalement contente de voir Kirin vivre avec elle, se remémorant le départ de sa famille et de sa mamie, elle est un peu plus heureuse aujourd’hui, la vie continue, merci pour le repas.
Une délicieuse aventure où prendre une seconde part ne serait pas de refus. 8/10
– Les avis d’Otakyun –
– Aldnoah.Zero : Seconde Partie –
Diffusé sur Crunchyroll.fr
Il est enfin temps de parler de l’épisode final de mon coup de cœur de cette saison, avec la seconde partie d’Aldnoah.Zero ! (un avis plus complet sera disponible sur le blog, courant de semaine prochaine !) Après onze épisodes à cracher sur la putitude de Slaine à manipuler tout son environnement pour accomplir des desseins plus qu’obscurs, nous nous étions retrouvés sur le cul avec la fin de l’avant-dernier épisode, où Asseylum nous annonçait son mariage avec un personnage qui était carrément sorti de nulle part quelques épisodes auparavant (bon niveau crédibilité, ce n’est pas trop cela, mais nous en reviendrons plus tard !), mettant tous les plans de notre petit Terrien devenu comte à la poubelle !
Après une récession quasi totale des forces venues de Mars après l’annonce inattendue de leur princesse, Slaine ordonne aux forces restantes sur la base lunaire de quitter l’endroit dans les plus brefs délais. Après un petit discours sans queue ni tête auquel il dit avoir tout prévu en voyant le futur (cette capacité n’aura jamais été vraiment expliquée dans la série, c’est assez dommage…), nous nous apercevrons que quelques-uns de ses plus fidèles soldats reviennent à lui pour livrer une ultime bataille contre les forces terriennes !
Le jeune compte abandonnera l’idée de se suicider dans l’explosion de la base lunaire et livrera un dernier combat contre son ennemi de toujours, Inaho ! Pour être franc avec vous, nous nous attendions tous à un combat à mort qui durerait une petite dizaine de minutes, nous montrant Slaine prévoyant chaque tir d’Inaho qui utiliserait les quasi totalité de son œil… Eh bien non, le combat était assez sympathique, mais pas vraiment épique nous offrant par la même occasion un très grand moment de BroForce entre nos deux héros puisque Inaho sauvera son nemesis lors de sa chute dans l’atmosphère terrestre.
Après l’arrestation de notre comploteur, la Terre et Vers signeront un traité de paix qui leur offrira un moteur Aldnoah en signe de bonne volonté et voilà FIN ! Oui oui, la série se termine sur un fucking happy end écrite par un gosse de dix ans… J’avoue que j’ai essayé de chercher des métaphores ou autre chose pour justifier une telle fin mais rien ne m’est venu à l’esprit, tous les conflits se sont résolus avec une princesse qui dit se marier avec un comte random… Toutes nos questions sur le père de Slaine, la création des moteurs Aldnoah, du triangle amoureux : Slaine / Inaho / Asseylum et j’en passe resteront à jamais sans réponse… Quoi que, une chance est toujours possible avec l’arrivée du prochain event japonais sur Aldnoah.Zero en juin 2015 ! Wait and See !
Outre ce final absolument bâclé, j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre les aventures de nos trois héros pendant pas moins de 24 semaines, comme ma note comprendra l’intégralité de la série et non juste le final, ne vous étonnez donc pas qu’elle soit assez élevé au vu du ton général qu’a pris ce spoiler ! 8/10
– Cross Ange : Tenshi to Ryuu no Rondo –
Diffusé sur Wakanim.
Pour être franc avec vous, je me suis lancé dans l’aventure de Cross Ange : Tenshi to Ryuu no Rondo à cause de son cast impressionnant de Seiyuu et de membres de Staff tous plus impressionnants les uns que les autres, mais malgré cela, je me suis posé quelques questions au vu de la qualité de ce dernier dès les premiers épisodes.
L’univers était assez spécial dès son commencement, puisque nous allions suivre les aventures d’une princesse du nom d’Angelise qui passera de son statut de haute dirigeante à une moins que rien en à peine quelques dizaines de minutes nous montrant la décadence humaine dans toute sa splendeur.
Bien que les quelques rebondissements disponibles au cours des 24 premiers épisodes ne soient pas spécialement prévisibles, l’épisode final quant à lui est beaucoup plus commun, nous montrant une bataille avec un front commun entre les humains, norma & Dragons contre le grand méchant, Embryo, pour empêcher la destruction de leurs propres mondes ! Sans grand suspense, l’accordeur (Embryo) finira par mordre la poussière sous les coups de nos cinq pilotes de Ragna-mail sans vraiment de difficulté, avec un Tusk invincible au vu du nombre de balles et de coups d’épée qu’il se prend sans jamais plier le genou… Malheureusement ce final était bien trop cliché pour moi, aucun sacrifice héroïque et juste une fin mollassonne où l’humanité vit main dans la main (enfin pour la vraie terre, puisque l’autre n’est qu’un tas de décombres et comme le dit Ange, qu’ils restent dans leur merdes !)… J’ai l’intime conviction que les animes de mecha sont définitivement morts.
Du côté de l’animation c’était assez correct dans son ensemble bien que trop copié sur la licence Mobile Suit Gundam Seed (en même temps le producteur de Cross Ange n’est autre que le réalisateur de Gundam Seed), j’ai apprécié y découvrir quelques clins d’œil comme le bouclier du Strike dans le hangar où ils pouvaient customiser leurs machines, mais voir des re-pompes totales de Gundam (Le vilkiss qui n’est qu’une copie conforme du Strike Freedom ainsi que celui de Salamandinay qui n’est autre que l’infinite Justice) et revoir certains plans de l’un de ses openings m’ont carrément achevé ! Heureusement que l’OST était assez convaincant pour me permettre de resté éveillé pendant les combats !
Au final, Cross Ange : Tenshi to Ryuu no Rondo est juste plaisant à regarder si vous n’avez rien d’autre à faire, mais il ne fait absolument pas parti des animes que je conseillerai à mon entourage. 5/10
– Parasite –
Diffusé sur Crunchyroll.fr
Lorsque j’ai appris l’annonce de l’adaptation en anime de kiseijuu: sei no kakuritsu ou plus communément appelé Parasite dans nos vertes contrées, j’étais vraiment très heureux puisque le manga avait été licencié chez nous dans les années 90 et devenait de plus en plus rare à trouver au fil des années, certains tomes coûtants donc une petite fortune sur le marché de la seconde main. Cette adaptation était donc une très bonne occasion d’entrer dans l’univers créé par Ken Arai !
Après 23 épisodes où l’on a appris à connaître les Kiseijuu depuis les yeux d’Izumi Shin’ichi en les haïssant à ses débuts et par la suite pleurer à chaudes larmes sur la mort de certains d’entre eux, nous ne les comprenions pas nécessairement et notre première réaction avait été de les classer dans la case des dangers pour l’humanité sans jamais chercher à les comprendre un minimum. Il nous faudra donc un petit temps d’adaptation, tout comme pour notre héros pour commencer à se poser des questions sur la venue des parasites sur la terre, était-il juste venu sur terre entant qu’apocalypse provoquée par mère nature pour tout ce que nous lui avions fait subir ou simplement à cause d’un pur hasard ? Nous ne le serons probablement jamais ! Mais l’être humain est sorti beaucoup plus fort de sa rencontre avec ces êtres étranges.
L’épisode final quant à lui et la suite direct du choix de Shin’ichi d’achever un parasite de ses propres mains, puisque du point de vue de Migi, c’était à son hôte de faire ce choix qui le changerait probablement à tout jamais, le début de ce final ressemblait fortement à un « happy end » nous montrant la main droite de notre héros s’endormir à tout jamais lui laissant la liberté de vivre une vie normale au côté de sa chère et tendre Murano Satomi.
Mais c’était sans compter le retour d’un personnage que nous nous attendions pas forcément à revoir et qui prendra en otage la petite amie de notre héros pour lui poser quelques questions puisqu’il le considère comme le chaînon manquant entre l’homme et les Kiseijuu. Après une petite conversation entre nos trois personnages qui bouclera notre questionnement initial, un événement imprévu fera ressortir Migi de son sommeil (enfin, c’est ce que nous pouvons simplement supposer au vu du petit aparté au cours duquel sa main lui dit d’être fatigué et qu’elle lui laisse prendre le relais et de ne pas trop se lamenter sur son sort).
La série se termine sur un « happy end » nous montrant Izumi et Murano dans les bras l’un de l’autre se comprenant un peu plus qu’à leur rencontre et nous laissant dans un moment de réflexion sur nos choix personnels quant à l’incompréhension générale des différentes espèces peuplant notre belle planète bleue !
J’avouerais que ce spoiler n’en est pas vraiment un, puisque je ne suis pas dans une optique à vous dévoiler totalement l’intrigue finale, mais j’ai plutôt l’envie que vous fonciez découvrir cette série si ce n’est pas déjà fait. Personnellement, je trouve que Ken Arai a su représenter à l’imperfection notre monde actuel et les parasites pourront facilement se comparer à des personnes que nous ne comprenons pas forcément, il faudra donc du temps pour apprendre à se connaître et s’apprécier, mais sans ce long processus c’est peine perdu !
Pour moi, cette série mérite son 11/10… Comment ça, je ne peux pas !? Bon d’accord… 10/10 !
– Kantai Collection ~KanColle~ –
Diffusé sur Crunchyroll.fr
J’étais sceptique avant le commencement de la diffusion de ce rouleau compresseur de la culture Otaku actuel, Kantai Collection ~KanColle~, certaines sources nous annonçaient un anime avec 75% de slice of life… Mais après avoir visionné quelques épisodes, le doute s’est levé et j’étais assez content que les batailles navales soient quasiment présentes à tous les épisodes nous dévoilant les petits secrets que nous ne pouvions pas voir en jouant à ce browser game !
L’épisode 12 est la suite directe de l’épisode 11 avec le lancement de l’opération MI, bien qu’Akagi ait fait changer la composition des flottes à cause d’un rêve prémonitoire, tout s’est exactement déroulé dans le pire des cas, nous montrant des kanmusu à la limite de sombrer dans les fonds abyssaux, une Akagi qui perd tout espoir jusqu’à l’arrivée de Fubuki, notre destroyer spécial qui remontera le moral des troupes en rapportant plusieurs navires pour continuer l’assaut sur ce point stratégique qui doit être absolument pris selon les dires du Teikoku !
Après d’intense attaques contre la princesse qui gardait l’île et la wo-class aka black rock shooter (désolé, j’étais obligé de le dire ! xD), elles finiront par être détruites toutes les deux laissant nos KanMusu dans un moment de joie intense, mais ce qu’elles ne remarqueront pas c’est qu’une voix se fait entendre depuis les tréfonds de l’océan demandant de lui rendre un objet, les plus attentifs remarqueront qu’il s’agit de la seiyuu de Kisaragi et quelques instants plus tard, la broche qu’elle portait dans ses cheveux remonte à la surface. Ce qui nous laisse supposer que dès qu’une kanmusu sombre au cours d’un combat, elle rejoint les abyssal fleet !
Le final de cet épisode est beaucoup plus calme, nous montrant les différentes flottes qui ont participées à l’opération reprendre leur petite vie au sein de la base en attendant les prochains ordres de leur amiral ! La licence est loin d’être terminée puisque le dernier écran nous annonce qu’une suite arrivera dans très peu de temps ! J’espère qu’il s’agira d’une nouvelle série TV (et que nous y verrons enfin Tenryuu & Tatsuta) !
Une très bonne adaptation d’un jeu sur des combats navals, ça aurait pu être un fail en nous proposant du fanservice à outrance, mais on a pu ressentir la passion des membres du staff sur ce jeu et c’est pour ça qu’il aura réussi à faire trembler mon petit cœur au fil des épisodes ! 7/10
2 commentaires
Saison assez légère pour moi.
Évidemment, surement comme quasiment tout ceux qui ont suivi, Shigatsu wa kimi no uso c’est le coup de coeur des deux saisons de sa diffusion. Raaaah la musique classique *^*
Meme avis pour Tokyo Goul RA. Dafuq la fin …
Egalement fini Death Parade ainsi que Kancolle. Le premier parce que j’avais bien kiffé l’OP et le second parce que la hype. Les deux étaient très (mais alors vraiment très) prenant et attachant.
Maintenant je fini Shirobako en gros rush même si je n’accroche pas plus que ça.
Bonne saison mais j’en attends plus de la prochaine.
mes coups de cœurs de la saison auront été comme beaucoup de monde Shigatsu (Kaori <3 ), mais aussi Kancolle (j'avais vraiment peur de ce que ça allait donné pourtant et j'étais plutot sceptique ^^), et Aldnoah Zero que j'aurai vraiment adoré de l'épisode 1 a 23 (comme otakyun l'épisode 24 m'a laissé sur ma fin avec une fin venu de nul part XD)